Mélangeons Les Mots ...

A oui. Ils sont partis avec Leymo le fils caché de Perceval qui n’est encore qu’un bébé à cette époque et qui ne marche qu’à quatre pattes pour rejoindre le pays de Karpatt.

« Mais langeons Leymo avant de partir » dit Perceval

...

Excusez moi de gâcher votre délire, mais :

Fort de ce constant sans appel deux journalistes du journal "le Monde" ont mené leur petite enquête. Le résultat est amusant.
A l'Université de Cambridge personne n'a entendu parler ni du texte où ni de l'étude qui aurait engendré ce résultat !
Les spécialistes de la question interrogés ont simplement fait remarquer que pour que "ça marche", il faut :

- plusieurs mots de trois ou quatre lettres dans la phrase (l'anagramme est alors facilement lisible sur un mot de 4 lettres et sur un trois lettres il n'y en a pas)
- que les lettres dans un mot ne soient surtout pas trop mélangées sinon vous pouvez donner votre langue au chat (un anagramme peut donner plusieurs mots)
- que la structure de la phrase soit toujours lisible
- que ...

Beaucoup d'inexactitudes enrobées dans un petit morceau de vérité.

Bon maintenant je vais aller prendre un Brialka Setzer, la lecture de vos posts m'a fichu un de ces mal de crane !

"Voir ce petit Leymo se déplacer à Karpatt" souffla Arthur avec une infinie tendresse "rappelle à mon coeur le souvenir de ma Mie quand l'ange vint la quérir et qui me demandait encore : alors on va au bal quand ?"

Inspecteur colombo : mais alors si leymots est le fils caché de Perceval, qui est cet enfant ? ma femme dit toujours ....

inspecteur colombo : mais alors si leymots est le fils caché de Perceval, qui est cet enfant ? ma femme dit toujours ....
Arthur : Que diantre les femmes dans tout ça ... Monsieur l'inspecteur c'est une histoire d'homme et de maux ....
Perceval : A commencer par moi ... Il y a t'il un docteur dans cette forêt ?
Inspecteur colombo : Tenez mon brave prenez cette décoction, je la tiens d’un ami très cher, un espion renommé qui a du s’infiltrer chez le président, être l’amant de la femme du fonctionnaire de sa fatou et de sa secrétaire pour récupérer la formule de cette potion magique ....en pays Poitevin …. ça m'a coûté une brique ...
Arthur : je vous rembourserai mon ami ….
Néni néni mon ami répondit Colombo… je vous laisse maintenant je suis à la recherche d’un agent double et mercenaire ..aurevoir m’ssieurs dames ..
Ah juste un p’tit détail … je vous parle d’emo, et vous me parlé des mots ….
Perceval : ah je vais mieux tout à coup ….
Arthur : non mon ami nous vous avons parlé de Leymo … pas des mots …
Colombo : attendez que je ressorte mon carnet : voilà … je recherche en fait eLmo … ah quelle histoire … ça me met mon ventre en vrac au point d’avoir le trac …
Perceval : Ah bon vous aussi ?
Arthur : ne perdons pas de temps Perceval avec ce minable inspecteur …. On faut maintenant qu’on se tire à patte, qu’on se carapate de ce cloaque …. Avant que les esprit de la forêt ne viennent à nouveau nous envoyer tous ces personnages, ces mirages sortis de quelques mondes parallèles …… afin de nous écarter de notre mission première ….
Perceval : Cent mille tétines de vieux bois de lit ! ! ! j’ai plus de couche pour mais langeaons leymo ! ! ! ! y’a pas un interprince dans le secteur ?
Arthur : Ah nan plutôt mourir que d’aller au pays des Mousquetaires ! Fi des couches …. Retiens tes maux leymo ….. sinon tu vas tâcher ma belle cape way toute neuve ….

Columbo : ben vous avez tort, ma femme connait un très bon Interprince sur la côte landaise où on vend d'excellents sandwichs au niglo... c'est bon pour ce que avez ça M'sieur Perceval non ? ... et puis comme ça vous pourrez vous reposer dans la maison sur le port avant d'entamer votre périple !! un p'tit cigare Sire ?

Arthur : Nan merci mon brave, la nicotine te colle au doigts, tes cheveux sentent le cendrier pendant des mois.... j'ai lu ça dans Poumons Magazine... suffit du Perceval qu'à déjà le palpitant en vrac...

Perceval : J'vous l'avais dit avec mes mots mais Leymo a pas pu se retenir... les couches là ça devient urgent ! Je connais un des mousquetaires, il s'appelle Jean-Luc... je l'ai connu à l'enterrement de ma grand-mère... alors pas de soucis Sire... fuyons vite fait cette forêt qui me fout le trac avant que tous ces trolls nous collent des coups de trique !!
Aaarrrggghhh ! M'sieur Columbo... j'avais pas vu : michto les pompes !!

non Healer, ne pas les provoquer...surtout pas....après c'est pire...

Healer a écrit:

non Healer, ne pas les provoquer...surtout pas....après c'est pire...

vas y provoques .. on es un peu en panne là .....

Pas de pannes de mon coté mais j'attends les vacances (semaine prochaine) pour faire monter la pression !!

Et puis, on vous laisse souffler un peu !!

Bon Chat d'Oc... je me dévoue... je te préviens, j'ai pas la forme et pas d'inspiration... mais sacrebleu je m'en voudrais de planter ces pôv Arthur et Perceval avec leur petit Leymo tout crotté dans cette forêt des Landes

Et voilà nos trois compères en route pour les Karpatt, clopin-clopant, leur marche rythmée par le cliquetis du glaive d'Arthur sur son armure, après une nuit de repos mérité dans la maison sur le port...

Perceval : "Sire, sont-ce vos serfs qui sifflent ainsi dans ce sous-bois ?"

"J'hallucine Mélusine !" susurre Arthur à son associé "je les croyais tous à l'usine !!... ça y est, j'ai encore le ventre en vrac rien qu'à penser au CAC 40... Lieutenant, je vous somme de dénouer ce mystère sur le champ"

Columbo : "Je suis pas le Messie Sire ! et je n'ai pas de mots pour le dire en deux mots.... mais si vos serfs s'adonnent à la sieste... m'est avis qu'il va falloir arrêter de les laisser tâter de la RTT"

Perceval : "La RTT ???? damned, mais c'est la Route Toute Tracée vers l'oisiveté ça Sire ! Aarrggghhh ! mon angevine de poitevine me reprend... Mère, je murmure et je me meurs... vite la potion Lieutenant !"

j'alunis, ahurie,
près d'ici
pas trés loin
plus ou moins
sans savoir
dans ce noir
où je suis.
merci

je sais pas quoi faire
mais quelle misère
je suis un peu gauche
c'est pas fastoche
les mots se moquent
les maux se troquent
sur les marchés
dans les troquets
au coin d'un bar,
près d'un couche tard,
moi quand je m'ennuie,
je rêve , j'écris...

j'essaie hein ? faut pas m'en vouloir

bienvenue Lubna


j'aime beaucoup ta signature, c'est de toi?

oui, oui c'est de moi lors d'un mouvement caractériel
un peu tempéramentale à vrai dire

mandieu, mais j'avais pas pigé la chose
désolée
mais Perceval , c'est celui qui perd et se cavalle ???? :pirat:

Alors pour résumer. En général, c’est toujours Perceval qui rit en écoutant Wagner ...

Bienvenue sur ce post lubna !!

"je sais pas quoi faire
mais quelle misère
je suis un peu gauche
c'est pas fastoche
les mots se moquent
les maux se troquent
sur les marchés
dans les troquets
au coin d'un bar,
près d'un couche tard,
moi quand je m'ennuie,
je rêve , j'écris..."

Perceval cherchait des yeux le lieutenant Colombo mais ne le voyait point. Alors pour échaper à la douleur qui l'étreignait à nouveau ..... il essayait d'écrire ..... pour soulager ces maux ....

Il manquait tout simplement de confiance en lui ...

Arthur : Alors mon Ami ... que faites vous donc ? Nous devons reprendre la route maintenant ..... Leymo ne va pas s'attarder à se réveiller si nous restons trop longtemps arrêté .... tu le sais bien pourtant.

Perceval : Oui Sire, j'arrive j'arrive ..... Laissez moi encore coucher quelques proses .... j'ai besoin de ces pauses ......

tout en répondant au roi, il ne pouvait s'empêcher de penser à sa modeste situation d'ouvrier ...... et rêvait d'une vaste révolution prolétaire ......

Arthur l'attendait déjà sur son cheval blanc. ils reprirent la route ....

Leymo se berçait en effet au rythme des déhanchements du cheval qui lui servait de carrosse.

Le soleil était déjà haut dans le ciel, ils prirent l'échangeur d'Albi qui menait à la Nationale 7 ... déjà trois jours depuis leur passage dans la maison du port .... et Arthur n'arrivait pas à se remettre de cette soirée ....

Mais que c'était il donc passé dans cette maison du port ?