vos concerts

C est moss ce qui t'arrive,Elmo

et bien voila un petit cr comme on les aimes

un petit tour sur les myspaces et le tour et joué

merci Georginna pour ces découvertes

il y en a qui ferai bien d'en prendre de la graine enfin surtout un

Georgette a écrit:

puis mon gros gros gros coup de pour

Matthieu CÔTE : C’est un drôle de zigoto à lunettes, énergique et talentueux.
Lui, joue de la guitare et de la clarinette et il est accompagné d’Eric Moulin (piano/rhodes, mélodica et basse) et de Jean-Marie Provenzano (guitares).

Le myspace

Des chansons tendres (sur le myspace la vidéo "tu as 20 ans"), caustiques (sur le myspace "ma meilleure amie" sinon il en a une aussi savoureuse sur les scouts).
Une chanson alcoolisée devant un public mort de rire (sur le myspace "en titubant").
Un chanteur engagé à droite (sur le myspace "qu’est-ce qu’ils sont c***" : paroles d’Arnaud Lagardère sur une musique de François Pinault.)

Une chanson avec laquelle ils se sont fait lourder de l’audition de la star’ac "Kevin et Michaël "
Une autre où il se prend pour un agent secret, avec participation du public, et une chorégraphie très personnelle.
Et bien d’autres.

Il a une très jolie plume, c’est un excellent musicien, et un interprète , y a pas de mots, il a une façon de "vivre ses chansons" qui fait parfois penser à Jacques Brel (ouais, rien que ça), c’est qu’il les défend drôlement bien sur scène.

Bref j’ai adoré ce concert, artiste à suivre et que je vous recommande. (il vient de Lyon, et les Lyonnais qui ne nous en parlent pas )

Petit bémol tout de même :
j’apprécie très moyennement le fait qu’il fasse rimer "Vincent Delerm" avec "s’em*er*e", (sur le myspace "l’étudiante en lettre")
Et en plus il se permet de l’imiter (ce qui m'a beaucoup fait rire ) , je lui en veux pas (de trop) pour les curieux : la vidéo, (super fadasse par rapport au concert).

Il était en première partie sansévérino à Fourvière. Effectivement il degage une sacré energie, je confirme ...

bilou a écrit:

il y en a qui ferai bien d'en prendre de la graine enfin surtout un

hé ho, t'avais qu'à y aller, hein !


The Babyshambles, génialement imprévisibles (Métro, 14/01/2008)

Que l’on se rassure : Pete Doherty et sa bande, en concert hier soir à l'Olympia, ne se sont que modérément assagis...

Attendu, scruté, comme à chacune de ses apparitions, Pete Doherty n’a pas déçu ses fans, lors de l’unique concert des Babyshambles à l’Olympia. Après les débuts de sa tournée à Lille, la veille, le groupe anglais a offert 1h20 d’une performance rondement menée au public parisien.

Une salle chauffée par le rock carré et efficace de Second Sex en première partie. La maturité et le professionnalisme de ce jeune groupe ferait presque oublier que ces quatre garçons ont à peine 20 ans (il faut dire qu’enchaîner les premières parties des Wampas, de Muse, de Razorlight ou des Buzzcocks, ça aide…)

L’entrée en scène des Babyshambles fut un peu moins facile. Passablement énervé par l’acoustique, Pete Doherty stoppa net les deux premières chansons de leur nouvel album (Shotter’s nation), Carry on up the morning et Delivery. Dommage au vu de la qualité des deux morceaux. Plus tard, il explosera même de rage son micro contre le sol, apparemment satisfait de constater qu’un micro éparpillé aux quatre coins de la scène fonctionne nettement moins bien…

Jeu scénique
Qu’à cela ne tienne : un concert des Babyshambles, c’est un peu comme une rencontre. Si les débuts furent timides, la suite laissa place, peu à peu, à une effusion de rythmes, d’envolées mélodiques et de rifs tonitruants. On surprit même l'auteur et chanteur du groupe à taper des mains et à communiquer avec son public. Loin de l’image de sale gosse qui lui colle parfois à la peau.

Pas de doute : ce Doherty, capable de passer de ballades romantico-ragga au punk le plus sombre et aux cris les plus désespérés et profonds, est non seulement l’un des artistes les plus doués de sa génération, mais aussi un grand professionnel, non dénué de talent scénique. Une belle réponse à ses détracteurs qui préfèrent miser sur sa prochaine rechute que sur son prochain chef d’œuvre.

Et, comme Doherty n’est jamais vraiment là où l’on attend, il ne joua ni French Dog Blues ni l’admirable Lost Art of Murder, préférant revenir aux sons plus rugueux du premier album que sont Fuck forever et Pipedown. Avant de partir, sans se retourner, mais non sans avoir allumé une dernière clope et replacé son chapeau… Mais cela fait partie du personnage.

Et voilà le travail !

ben tu vois... quand tu veux ...

Georgette a écrit:

Matthieu CÔTE : C’est un drôle de zigoto à lunettes, énergique et talentueux.
Lui, joue de la guitare et de la clarinette et il est accompagné d’Eric Moulin (piano/rhodes, mélodica et basse) et de Jean-Marie Provenzano (guitares).

tres tres bon! c'est clair!!! et c'est vrai que ya du jacques brel qui saute aux oreilles!

j'aime beaucoup! merci!

eLmo a écrit:

bilou a écrit:

il y en a qui ferai bien d'en prendre de la graine enfin surtout un

hé ho, t'avais qu'à y aller, hein !


The Babyshambles, génialement imprévisibles (Métro, 14/01/2008)

Que l’on se rassure : Pete Doherty et sa bande, en concert hier soir à l'Olympia, ne se sont que modérément assagis...

Attendu, scruté, comme à chacune de ses apparitions, Pete Doherty n’a pas déçu ses fans, lors de l’unique concert des Babyshambles à l’Olympia. Après les débuts de sa tournée à Lille, la veille, le groupe anglais a offert 1h20 d’une performance rondement menée au public parisien.

Une salle chauffée par le rock carré et efficace de Second Sex en première partie. La maturité et le professionnalisme de ce jeune groupe ferait presque oublier que ces quatre garçons ont à peine 20 ans (il faut dire qu’enchaîner les premières parties des Wampas, de Muse, de Razorlight ou des Buzzcocks, ça aide…)

L’entrée en scène des Babyshambles fut un peu moins facile. Passablement énervé par l’acoustique, Pete Doherty stoppa net les deux premières chansons de leur nouvel album (Shotter’s nation), Carry on up the morning et Delivery. Dommage au vu de la qualité des deux morceaux. Plus tard, il explosera même de rage son micro contre le sol, apparemment satisfait de constater qu’un micro éparpillé aux quatre coins de la scène fonctionne nettement moins bien…

Jeu scénique
Qu’à cela ne tienne : un concert des Babyshambles, c’est un peu comme une rencontre. Si les débuts furent timides, la suite laissa place, peu à peu, à une effusion de rythmes, d’envolées mélodiques et de rifs tonitruants. On surprit même l'auteur et chanteur du groupe à taper des mains et à communiquer avec son public. Loin de l’image de sale gosse qui lui colle parfois à la peau.

Pas de doute : ce Doherty, capable de passer de ballades romantico-ragga au punk le plus sombre et aux cris les plus désespérés et profonds, est non seulement l’un des artistes les plus doués de sa génération, mais aussi un grand professionnel, non dénué de talent scénique. Une belle réponse à ses détracteurs qui préfèrent miser sur sa prochaine rechute que sur son prochain chef d’œuvre.

Et, comme Doherty n’est jamais vraiment là où l’on attend, il ne joua ni French Dog Blues ni l’admirable Lost Art of Murder, préférant revenir aux sons plus rugueux du premier album que sont Fuck forever et Pipedown. Avant de partir, sans se retourner, mais non sans avoir allumé une dernière clope et replacé son chapeau… Mais cela fait partie du personnage.

Et voilà le travail !

pas mal le cr mais.....COPIEUR

ben bilou, tu savais pas qu'il bossait pour métro, l'eLmo ???

et moi qui croyais qu'il était convoyeur de fonds ou marionette pour le bebette show

pour une nouvelle c'est une sacrée nouvelle

Georgette a écrit:

...Matthieu CÔTE...

Encore un merci à Geo qui nous fait découvrir des tas d'artistes qui gagneraient à être plus connus !

J'ai beaucoup aimé, notamment "L'étudiante en lettres" et "La mère de l'officier".
C'est vrai qu'il fait drôlement penser à Jacques Brel dans l'intonation, et pis à Sean Lennon dans le look, je trouve.

A voir en concert, assurément.

Benoît Doremus à la FNAC tout à l'heure: j'en avais déjà parlé, personne n'avait rebondi ...
Ca va être dur pour lui mais il mérite ce p'tit jeune!!!
J'aurais bien voulu avoir cette plume au même âge!

barzaz a écrit:

Benoît Doremus à la FNAC tout à l'heure: j'en avais déjà parlé, personne n'avait rebondi ...
Ca va être dur pour lui mais il mérite ce p'tit jeune!!!
J'aurais bien voulu avoir cette plume au même âge!

bon Barzaz t'arrêtes de faire tout comme moi !!!

Emma a écrit:

barzaz a écrit:

Benoît Doremus à la FNAC tout à l'heure: j'en avais déjà parlé, personne n'avait rebondi ...
Ca va être dur pour lui mais il mérite ce p'tit jeune!!!
J'aurais bien voulu avoir cette plume au même âge!

bon Barzaz t'arrêtes de faire tout comme moi !!!

vous êtes comme chien et chat les deux là

Emma a écrit:

barzaz a écrit:

Benoît Doremus à la FNAC tout à l'heure: j'en avais déjà parlé, personne n'avait rebondi ...
Ca va être dur pour lui mais il mérite ce p'tit jeune!!!
J'aurais bien voulu avoir cette plume au même âge!

bon Barzaz t'arrêtes de faire tout comme moi !!!

Euh.....pareil!!!!! pis j'fais pas TOUT comme toi!!

ça aussi j'pouvais voulais l'faire !

Merci Barzaz, encore une belle découverte !

cacon a écrit:

Merci Barzaz, encore une belle découverte !

Disque "jeunesse se passe" 10 euros à la FNAC actuellement!!Allez fonce à Lorient!!

Miam, il a du talent et est tout à fait charmant, en plus.

cacon a écrit:

Miam, il a du talent et est tout à fait charmant, en plus.

Pis dans tes âges presque!! Fonce j'te dis!!!!

http://www.benoitdoremus.com/