Victoires de la Musique 2007- 10/03/2007 - 20h50 - france 2

sylvianerbx a écrit:

Lyn a écrit:

eLmo a écrit:

... Et ne ratez pas Il fait si beau, de Delerm (j'dis ça, j'dis rien)

Même pas le droit de zapper à ce moment-là ???

Tu peux toujours baisser le son ..........................ou faire une pause pipi

Ben non, c'est bien pour ça que je vous en parle ... pour que vous soyez pas tentés ... faut rester !

En plus, sa chanson elle est plutôt marrante, et l'orchestration est vraiment bien (enfin c'est mon avis) ...

eLmo a écrit:

Les passages de Stef ce soir :

Love, love, love avec (quasi) toute la troupe du Soldat Rose
Cette conne m'ennuie, avec Hervé Legeay, GP, Xavier Tribolet et Christophe Cravero

... Et ne ratez pas Il fait si beau, de Delerm (j'dis ça, j'dis rien)

Dans quel ordre et à quel moment, je sais pas !

(et on éspère bien que Stef aura d'autres occasions de monter sur scène )

Merci elmo pour ces précisions va falloir rester vigilant pour pas louper au moment fatidique
avec le père drucker c'est pas gagner



Steph bonne chance moi j'y crois à fond !!! good luck

eLmo, dans le sujet « je vais me couch'man.... », a écrit:

Oooooh p'tain, avec vos conneries, j'ai dépassé les 1000 messages !

Et t’as même pas fêté ça !

eLmo a écrit:

... Et ne ratez pas Il fait si beau, de Delerm (j'dis ça, j'dis rien)

Bon ben dis rien alors ! ! !

Lyn a écrit:

Même pas le droit de zapper à ce moment-là ???

, mais nan , faut surtout pas zapper Vincent Delerm !

Y a des fois, j’ai l’impression d’être une extraterrestre sur ce forum

Le Vincent, c’est souvent qu’il personnalise ses chansons pour les émissions télés/radios !

Avant de vous faire une opinion définitive sur lui, allez le voir en concert, on dirait pas comme ça, mais c’est une véritable bête de scène aussi. [Ses 3 albums sont très bons, y a rien à jeter (oui, ce n'est que mon avis) : "Vincent Delerm", Kensington Square" et "les piqûres d'araignée"]

MP pour François : quand j’écris en vraiment tout petit, c’est que c’est pas franchement intéressant , mais je peux pas m’empêcher de l’écrire quand même , si ça t’ennuie, tu zappes !(alors que oui, ce qui est écrit en taille normal, je trouve ça passionnant et ce serait dommage de vous en priver. )

Georgette a écrit:

mais nan , faut surtout pas zapper Vincent Delerm !

Non, non... tu n'es pas une extra-terrestre Georgette... j'en connais beaucoup d'autres qui l'adorent et je respecte... mais moi... comment dire ???... ça me provoque comme une allergie... je ne supporte pas sa voix et son phrasé

D'autres ont cette même sentation pour un autre artiste... ils comprendront ce que je veux dire !!!

Georgette a écrit:

j'aime beaucoup sa voix

sa quoi???

oui bien sûr...c'était superbe...

J'ai bien aimé Anis. Peut-être à cause du nom...
Grand corps malade aussi, l'est aussi grand que moi, et z'ont tous l'air de le respecter, ouvrons les zoreilles !
J'ai découvert Anis y'a pas longtemps via la clé USB d'un pote du boulot. J'ai d'abord pensé "encore un Marseillais qui va nous la raconter Bonne Mère", comme quoi faut jamais dire Brigitte je ne boirai pas...

Bon sang, je file, I've got maïl !!

André

ANIS


Biographie


LE COMPAGNON
Anis signifie « le compagnon », en arabe littéraire.

De cette langue, Anis a gardé le goût des mots, grâce à son père, révolutionnaire marocain, réfugié en France et médecin de campagne dans le Vexin français (Val d’Oise). Le goût des autres et de la société lui viennent de sa mère, émigrée russe de la deuxième génération, et assistante sociale dans les cités.

Né en 1977 à Pontoise, dans le 9-5, Anis a grandi en écoutant Tom Waits, les vieux bluesmen Bo Diddley et John Lee Hooker (Boogie Man), Billie Holiday, et aussi Edith Piaf, et Colette Magny : « Elles ont apporté le blues en France, elles sont super rock n ‘roll ces dames-là ! » . Plus tard, à Cergy, il est fasciné par les rappeurs et rêve de faire des batailles de MC.

« J’ai pris conscience de ma voix à l’age de 5/6 ans. À l’école, on nous faisait faire du chant choral, j’aimais l’harmonie des voix, je ressentais un bien être physique à chanter en chœur. »

Anis quitte l’école à 17 ans, prend quelques cours de piano au CIM, avec option saxo, apprend la guitare en autodidacte, et joue dans divers groupes de Cergy (hip hop, reggae, punk). « La scène, c’est l’endroit où j’ai le droit de frimer, d’avoir tous les excès, d’être mégalo, ce que je ne peux pas être dans la vie…( Sinon je serais un c…) ».

Anis est lucide, malgré le milieu confortable dans lequel il a grandi, il aurait pu mal tourner.

LE METRO

Anis débarque à Paris, habite dans une chambre de bonne, et devient intérimaire, « intérimeure » comme il dit. Il fait tous les métiers en « eur », serveur, plongeur, déménageur… Puis en découvrant un plan du métro, décide de faire le « busker », (saltimbanque en Anglais). Il prend sa guitare et chante dans le métro comme on va au boulot : « Cela m’a permis de me revaloriser. Un jour, un mec en costume, un libéral, avec sa mallette, m’a fait un chèque de 1000Frs ». Plus question alors de faire marche arrière. Dans le métro, il voit les affiches : « Tété se présente à l’Elysée Montmartre ». « J’aimais beaucoup ce gars-là, ça me faisait envie, je voulais faire comme lui ».

Dans le métro, Anis est repéré. On lui propose d’enregistrer une maquette. À l’automne 2003, la maquette circule et les chansons passent en radio. ( La maquette circule et arrive dans les couloirs de France inter, les émissions et la programmation l’adoptent illico). Il fera la première partie de Tété à l’Olympia en Mai 2004… Fort de cette carte de visite, Anis part à l’assaut des maisons de disque.

LE STUDIO

Un après-midi de Mai 2005, le rêve se réalise. Anis est au studio Gang à Paris. Studio mythique où les murs sont décorés des disques d’or de Michel Berger, Véronique Sanson, et aussi Teri Moïse et Tété… « Les disques d’or, ça me fait tripper ! » Anis y enregistre son premier album. Mitch Olivier est à la console et dirige les séances. Il a travaillé avec Bashung, Rita Mitsouko, et aussi dans le hip-hop, il a tout de suite compris l’univers d’Anis : « Entre nous c’était comme chat et chat ! J’ai voulu conserver le côté minimaliste pour qu’on retrouve Anis, et lorsque j’écoute l’album, je vois sa tête ! » dit-il.

Mitch a fait le casting, il a appelé les musiciens comme on commande une pizza : André Villéger à la clarinette, Jean-claude Ghrenassia à la contrebasse, Le Baron à la guitare, Roland Romanelli à l’accordéon, Monique Pierrot à l’onde Martenot et une section rythmique solide …

Entre deux prises de voix, Anis, le crooner, boit du lait : «Parce que le lait adoucit la voix, contrairement au miel qui l’engourdit et qui n’agit vraiment que quelques heures après. »

AVEC LE VENT

Anis raconte son histoire en 13 chansons. L’album est chaloupé, dansant, mélancolique. Tout l’univers d’Anis est dans ce disque : clarinette et piano-bastringue pour la nostalgie, harmonica frénétique et guitares nerveuses pour souligner ses formules lapidaires, et des chœurs gospels pour flatter son côté crooner, car Anis pratique aussi bien l’autodérision que l’autobiographie, avec des clins d’œil permanents au blues :

« Il n’y a pas de blues pur et dur dans mon album, mais mon rêve est de m’en approcher. Je ressens le blues dans mon âme. Quand je vois à la TV des reportages sur les femmes algériennes, je pleure, et je pense à l’histoire de nos parents, même si je n’écris pas directement sur ces sujets. Le blues, c’est l’histoire des noirs aux Etats-unis, et c’est aussi un peu la nôtre, l’histoire des émigrés et des enfants d’émigrés. C’est une musique de lutte pour l’existence. Par mes origines, je suis né avec le spleen que mes parents m’ont transmis. »

À la fois, timide, et désinvolte, Anis, le compagnon, est arrivé avec le vent. Avec le vent, toutes les cultures finissent par se mélanger.

Avec le vent, tous les petits papiers sur lesquels il a écrit des bouts de phrases depuis des années ont fini par faire des chansons. Titi parisien, « rebeu » d’ici, Anis, le compagnon, pense toujours aux bars du 18 ème arrondissement de Paris, au métro, à la solidarité, au soleil de la butte, et il a toujours le vent comme complice...

Isabelle Dhordain, Paris le 26 Juin 05

WAHOU bravo GP (1ère fois que j'entendai sa voix et que je le voyais en gros plan)

On est avec toi, avec tous les artistes et intermittents du spectacle!



Bien fait le ministre de la culture s'est fait hué

mince deux post pour la même soirée .. Argh que choisir ? tant pis je prends les deux ~~~~

GonzS a écrit:

ANIS


Biographie


LE COMPAGNON
Anis signifie « le compagnon », en arabe littéraire.

Mince, encore un mythe qui tombe !

André

GonzS a écrit:

WAHOU bravo GP (1ère fois que j'entendai sa voix et que je le voyais en gros plan)

On est avec toi, avec tous les artistes et intermittents du spectacle!



Bien fait le ministre de la culture s'est fait hué

ouai excellent avec l'accent, ca le fait!^^

Pourquoi j'comprends pas?

Pis Stef qui se fait souffler le meilleur album de l'année

et le meilleur chanteur aussi

je ne me suis rien fait soufflé...
bises

On aurait préféré que tu ais quelquechose mais bon. Peut-être l'année prochaine après la tournée, c'est visiblement ce qui s'est passé avec Bruno... Bises aussi.

moi j'ai été sensible au son. Je ne sais pas si vous avez remarqué mais le groupe de stef était le seul dont les membres s'écoutaient vraiment en jouant.

Et la chemise de Stef était vraiment too much

moi,j'ai adoré chaque passage de stef!!lui au moins c'est un vrai musicien, un vrai chanteur et avec ses musiciens whoua!! ça a du donner envie à plein de gens d'aller le voir! (en plus qu'est ce qu'ils étaient beauxxxxx tous) et gp il assure!!

stef a écrit:

je ne me suis rien fait soufflé...
bises

De tote façon ... souffler n'est pas jouer ~~~~~~

Bises tooo ..........

cecile a écrit:

moi,j'ai adoré chaque passage de stef!!lui au moins c'est un vrai musicien, un vrai chanteur et avec ses musiciens whoua!! ça a du donner envie à plein de gens d'aller le voir! (en plus qu'est ce qu'ils étaient beauxxxxx tous) et gp il assure!!

Fred le Bassiste a écrit:

moi j'ai été sensible au son. Je ne sais pas si vous avez remarqué mais le groupe de stef était le seul dont les membres s'écoutaient vraiment en jouant.

Et la chemise de Stef était vraiment too much

Merci pour les commentaires les poteaux ! Moi je n'ai pas pu regarder ! g pas d'télé d'abord mais g écouté sur France Inter en stéréo Yeah !

Ouais c sûr c triste surtout q depuis q on en parle et surtout toute la journée d'hier jusqu'au soir, la pression devait être sur Stef...
Mais la reconnaissance passe aussi ailleurs heureusement... plein de monde dans les concerts, sur le forum, tout le monde chante ses chansons et connaît au moins une ch'tite phrase de lui...and so on...
Ben, nous (en tout qu'à moi, mais j'suis sûr que vous en êtes) victoria della musique ou pas on l'aime quand même comme ça, sans tralala... Mille gracie Steph pour ton talent...et bon dimanche quand même....

GonzS a écrit:

ANIS


Biographie


LE COMPAGNON
Anis signifie « le compagnon », en arabe littéraire.

De cette langue, Anis a gardé le goût des mots, grâce à son père, révolutionnaire marocain, réfugié en France et médecin de campagne dans le Vexin français (Val d’Oise). Le goût des autres et de la société lui viennent de sa mère, émigrée russe de la deuxième génération, et assistante sociale dans les cités.

Né en 1977 à Pontoise, dans le 9-5, Anis a grandi en écoutant Tom Waits, les vieux bluesmen Bo Diddley et John Lee Hooker (Boogie Man), Billie Holiday, et aussi Edith Piaf, et Colette Magny : « Elles ont apporté le blues en France, elles sont super rock n ‘roll ces dames-là ! » . Plus tard, à Cergy, il est fasciné par les rappeurs et rêve de faire des batailles de MC.

« J’ai pris conscience de ma voix à l’age de 5/6 ans. À l’école, on nous faisait faire du chant choral, j’aimais l’harmonie des voix, je ressentais un bien être physique à chanter en chœur. »

Anis quitte l’école à 17 ans, prend quelques cours de piano au CIM, avec option saxo, apprend la guitare en autodidacte, et joue dans divers groupes de Cergy (hip hop, reggae, punk). « La scène, c’est l’endroit où j’ai le droit de frimer, d’avoir tous les excès, d’être mégalo, ce que je ne peux pas être dans la vie…( Sinon je serais un c…) ».

Anis est lucide, malgré le milieu confortable dans lequel il a grandi, il aurait pu mal tourner.

LE METRO

Anis débarque à Paris, habite dans une chambre de bonne, et devient intérimaire, « intérimeure » comme il dit. Il fait tous les métiers en « eur », serveur, plongeur, déménageur… Puis en découvrant un plan du métro, décide de faire le « busker », (saltimbanque en Anglais). Il prend sa guitare et chante dans le métro comme on va au boulot : « Cela m’a permis de me revaloriser. Un jour, un mec en costume, un libéral, avec sa mallette, m’a fait un chèque de 1000Frs ». Plus question alors de faire marche arrière. Dans le métro, il voit les affiches : « Tété se présente à l’Elysée Montmartre ». « J’aimais beaucoup ce gars-là, ça me faisait envie, je voulais faire comme lui ».

Dans le métro, Anis est repéré. On lui propose d’enregistrer une maquette. À l’automne 2003, la maquette circule et les chansons passent en radio. ( La maquette circule et arrive dans les couloirs de France inter, les émissions et la programmation l’adoptent illico). Il fera la première partie de Tété à l’Olympia en Mai 2004… Fort de cette carte de visite, Anis part à l’assaut des maisons de disque.

LE STUDIO

Un après-midi de Mai 2005, le rêve se réalise. Anis est au studio Gang à Paris. Studio mythique où les murs sont décorés des disques d’or de Michel Berger, Véronique Sanson, et aussi Teri Moïse et Tété… « Les disques d’or, ça me fait tripper ! » Anis y enregistre son premier album. Mitch Olivier est à la console et dirige les séances. Il a travaillé avec Bashung, Rita Mitsouko, et aussi dans le hip-hop, il a tout de suite compris l’univers d’Anis : « Entre nous c’était comme chat et chat ! J’ai voulu conserver le côté minimaliste pour qu’on retrouve Anis, et lorsque j’écoute l’album, je vois sa tête ! » dit-il.

Mitch a fait le casting, il a appelé les musiciens comme on commande une pizza : André Villéger à la clarinette, Jean-claude Ghrenassia à la contrebasse, Le Baron à la guitare, Roland Romanelli à l’accordéon, Monique Pierrot à l’onde Martenot et une section rythmique solide …

Entre deux prises de voix, Anis, le crooner, boit du lait : «Parce que le lait adoucit la voix, contrairement au miel qui l’engourdit et qui n’agit vraiment que quelques heures après. »

AVEC LE VENT

Anis raconte son histoire en 13 chansons. L’album est chaloupé, dansant, mélancolique. Tout l’univers d’Anis est dans ce disque : clarinette et piano-bastringue pour la nostalgie, harmonica frénétique et guitares nerveuses pour souligner ses formules lapidaires, et des chœurs gospels pour flatter son côté crooner, car Anis pratique aussi bien l’autodérision que l’autobiographie, avec des clins d’œil permanents au blues :

« Il n’y a pas de blues pur et dur dans mon album, mais mon rêve est de m’en approcher. Je ressens le blues dans mon âme. Quand je vois à la TV des reportages sur les femmes algériennes, je pleure, et je pense à l’histoire de nos parents, même si je n’écris pas directement sur ces sujets. Le blues, c’est l’histoire des noirs aux Etats-unis, et c’est aussi un peu la nôtre, l’histoire des émigrés et des enfants d’émigrés. C’est une musique de lutte pour l’existence. Par mes origines, je suis né avec le spleen que mes parents m’ont transmis. »

À la fois, timide, et désinvolte, Anis, le compagnon, est arrivé avec le vent. Avec le vent, toutes les cultures finissent par se mélanger.

Avec le vent, tous les petits papiers sur lesquels il a écrit des bouts de phrases depuis des années ont fini par faire des chansons. Titi parisien, « rebeu » d’ici, Anis, le compagnon, pense toujours aux bars du 18 ème arrondissement de Paris, au métro, à la solidarité, au soleil de la butte, et il a toujours le vent comme complice...

Isabelle Dhordain, Paris le 26 Juin 05

Ben moi j'aime bien quelques titres d'Anis, notamment le fameux "Cergy", "la preuve par mille", "avec le vent" et "dans le métro" et "Louise et Thelma" plutôt bien trouvés. Ils en valent le détour...

Lyn a écrit:

Nicole et André a écrit:

Une pour Césaria quand même....
Nicole

Ouais... la grande Cesaria récompensée, ce serait top !
Mais j'avoue que mon coeur balance avec Jehro, marseillais chantant en anglais et espagnol... j'aime beaucoup aussi...

Jehro on l a vu sur scène et ça vaut le détour....


sinon que dire de la soirée ....

J ai Vu Stéph et le groupe ( quel organiste !!! ) et pas supporté D. et N. en même temps....et je me suis endormie
pas vu la fin du programme....
Bon c' est Barnabé..... vox po.... vox comme on dit

Nicole

Anis... vu sur scène dans un festival : excellent ! ... + de l'humour entre les chansons

Et vous croyez pas que les dés sont pipés d'avance pour ces victoires della zique ?

Quelqu'un sait qui choisit le morceau interprété par chaque artiste pour cette occasion ? parce que j'trouve que parfois le morceau choisi est pas toujours représentatif du meilleur de l'artiste. J'me trompe ? J'parle pas ici forcément pour Steph... (Ayo par ex, c t pas son plus joli morceau ! enfin c mon goût perso).

mouais, j'ai aussi des doutes sur la vérité vrai de ce genre d'émissions, on a commencé a regarder avec ma chere et tendre mais on s'est vite fait chier...!

d'autre part, pour cette histoire de pipe... , on a remarqué que pour certaines catégories, les seuls gens présents était les primés, c'est bizar quand même.... .

les présentateurs débordés, ça s'était drole...!
un public de m... n'est ce pas mr sansev ?... debout les morts ...!

bref, je n'ais pas trouvé ça top du tout sauf bien sûr des moments musicaux live vraiment sympa.

a+